" Medianeras " (traduit par " murs mitoyens ") est un film argentin léger et décalé qui nous plonge en immersion totale dans la ville de Buenos Aires.
C'est un film original qui mèle toutes les formes pour illustrer sa thématique notamment la photo et le dessin animé et qui traite de manière très humoristique d'un sujet propre à toutes les grandes villes: la promiscuité de citadins qui ne communiquent pas entre eux.
C'est un film original qui mèle toutes les formes pour illustrer sa thématique notamment la photo et le dessin animé et qui traite de manière très humoristique d'un sujet propre à toutes les grandes villes: la promiscuité de citadins qui ne communiquent pas entre eux.
Le film commence par une présentation de Buenos Aires, notamment de son urbanisation, architecture et de sa population, dressant le portrait d'une mégalopole où les immenses immeubles semblent se dresser sans aucune logique de construction aboutissant à une promiscuité de certains appartements de tours mitoyennes. Malgré cette concentration de population, l'avènement des nouvelles technologies liées à internet a contribué à créer un isolement des individus.
Avec beaucoup d'humour, le film fait le constat de l'incapacité à communiquer dans laquelle certains habitants se trouvent. Les deux personnages centraux du film, un jeune homme web-designer et une jeune femme décoratrice, sont voisins de quartier, ont apparemment les mêmes phobies (peur de sortir dehors, peur de prendre un ascenceur) et les mêmes déboires sentimentaux, mais ne se connaissent pas. Dans cette ville qu'ils subissent et où ils ne parviennent pas à s'épanouir, leur cheminement respectif est chaotique, drôle et émouvant. Ils vont finalement se trouver au détour d'une rue et se " reconnaîtront ".
Avec beaucoup d'humour, le film fait le constat de l'incapacité à communiquer dans laquelle certains habitants se trouvent. Les deux personnages centraux du film, un jeune homme web-designer et une jeune femme décoratrice, sont voisins de quartier, ont apparemment les mêmes phobies (peur de sortir dehors, peur de prendre un ascenceur) et les mêmes déboires sentimentaux, mais ne se connaissent pas. Dans cette ville qu'ils subissent et où ils ne parviennent pas à s'épanouir, leur cheminement respectif est chaotique, drôle et émouvant. Ils vont finalement se trouver au détour d'une rue et se " reconnaîtront ".
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